L’argent sale des capitalistes, quand il fini par arriver dans les mains de ces réalisateurs de « chefs d’œuvres cinématographiques » devient tout d’un coup propre… Et quand on sait qu’un gros pourcentage des entrées en salle est fait grace aux films de ces salauds d’américain… Là aussi on ne refuse pas cet argent… donc un ouvrier qui monte une bagnole ne peut pas voir son business subventionné, qui plus est il participe au financement lui mais mais un ouvrier du cinéma peut voir son business subventionné lui… les saint dicta, hummmmm, merci….
↧